lundi 29 janvier 2007

Nina de Nina Ricci





Si Nina m’était conté…


C’est probablement le produit le plus commercial de l’année passée, mais il faut bien reconnaître que le mix produit (flacons, jus, campagne de publicité) est des plus réussi.

Quand ce parfum est sorti, je me suis dit : "voilà que l’on nous ressort l’histoire de la princesse et du philtre d’amour comme nous l’avions déjà vu dans la campagne de Lolita Lempicka pour femme!"

Le parfum, signé Olivier Cresp et Jacques Cavallier (Firmenich) revendique la pomme d’amour (comme la barbe à papa en son temps dans Angel de Mugler), des notes hespéridées citron et des notes florales pivoine. Le seul bémol est que le jus n’est pas très créatif puisque Nina reprend les codes d’un autre parfum à succès: un Light Blue de Dolce & Gabbana plus gourmand.

La marque Nina Ricci veut toucher une nouvelle génération de consommatrice et y parvient avec brio, puisque Nina se vend très bien en parfumerie. Ce succès s’explique en partie à cause de son faible prix d’achat (20 euros pour l’entrée de gamme) et la simplicité de son message. Les histoires de princesse parlent encore au plus grand nombre…

Tête : Citron vert de Calabre, Gingembre.
Cœur : Pomme, Praline, Pivoine.
Fond : Cèdre, Musc blancs, Vanille.

Vous aimerez ce parfum si vous portez Light Blue de Dolce&Gabbana ou Amor Amor de Cacharel .

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